
Après avoir traversé cette période historique et (espérons-le) unique de confinement (semi-confinement, en Suisse), certains d’entre nous (certainement les plus chanceux !) ont eu l’opportunité forcée de faire une pause dans nos vies trépidantes. Plus que jamais, nous avons pu prendre conscience de la véritable valeur du temps et de la maîtrise de notre temps. Qu’il s’agisse d’aider les autres, d’être en famille, de faire du sport, de faire ses courses localement, de bouger plus durablement (nous avons tous entendu parler de l’essor des ventes de vélos électriques ces derniers mois), de cuisiner, de lire, d’aimer… Trop de personnes ont été malades et trop nombreuses sont celles qui sont décédées, et on ne peut qu’être triste et désolé pour les familles endeuillées. Pourtant, cette pandémie de Covid-19 nous a aussi ouvert les yeux sur notre mode de vie, en particulier dans le monde dit occidental. J’ai donc décidé de faire une liste, car j’ai peur d’oublier trop vite les conséquences positives que cette situation extraordinaire m’a apporté. Alors, même si je suis globalement heureuse que la situation puisse revenir à la « normale » (avec les mesures nécessaires), je veux me souvenir de ma liste et essayer de conserver certaines des nouvelles habitudes acquises :
PHILOSOPHIQUEMENT :
Vivre à un rythme plus lent : courir est un bon sport, mais pas forcément un mode de vie.
Se concentrer sur l’essentiel pour maintenir un bon équilibre, ce qui, pour moi, signifie : passer du temps avec ma famille et mes amis, jouer au tennis et faire du sport pour être en forme, travailler avec passion et enthousiasme dans un environnement qui me convient.
« Être » plutôt qu’« avoir »…
TRÈS CONCRÈTEMENT :
Acheter le plus local possible, en commençant par l’alimentation (légumes, viande, poisson).
Consommer moins, ou du moins, différemment (avouons-le, je suis ce qu’on pourrait appeler une « accro du shopping » et j’ai l’intention de réduire mes dépenses en articles de mode à rotation rapide…).
Bouger différemment : faire du vélo ou marcher plutôt que de prendre la voiture (du moins lorsque la météo le permet).
Bien sûr, En tant que marketeuse, certains éléments de ma liste peuvent paraître un peu schizophrènes. Après mûre réflexion, je ne pense pas que ce soit le cas. J’ai décidé d’apporter ma contribution à chaque conseil que je propose à mes clients, en proposant toujours des solutions durables et en les guidant vers une direction que, je l’espère, nous serons nombreux à prendre : celle d’un avenir équilibré pour nos enfants.
N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à nous envoyer un message pour partager votre liste ou vos réflexions !
Prenez soin de vous !
Véronique Fiorin
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